Un des lieux emblématiques de l’ancien équipement disparaît. Les porte-habits et leurs fameux paniers rouges sont sciés. Ils seront remplacés par des casiers. (Photos : Jean-Pierre Sageot)
À l’intérieur de la piscine, toutes les surfaces vitrées sont protégées par des planches de bois afin de limiter les risques de casse durant le chantier.
Le camp de base du chantier est positionné sur le solarium.
Les deux plongeoirs du grand bassin sont démontés.
Un impressionnant marteau-piqueur, positionné sur un engin de chantier, grignote les bords du bassin.
Les forages des fondations de la future chaufferie biomasse s’enfoncent de 14 mètres et jusqu’à 22 mètres de profondeur.
La toiture du bâtiment a été complètement reprise.
En sous-sol, les colonnes d’arrivée d’eau, alimentant précédemment les deux bassins, ont été complètement retirées.
Les anciennes cuves à sable servant à un premier filtrage de l’eau ont été découpées afin de pouvoir être évacuées du local technique dans lequel elles étaient installées.
Dans les endroits difficiles d’accès, la lampe du téléphone portable peut aider à apprécier la situation.
Rien ne vaut une visite sur le terrain pour vérifier en direct l’avancée du programme de travaux.
Chaque semaine, services municipaux et responsables du chantier se retrouvent pour faire un point précis de l’évolution du programme de travaux.
Un des premiers signes visibles du lancement des travaux a été l’abattage de quelques arbres entre la piscine et le cynodrome. L’espace ainsi dégagé facilite la circulation des engins et prépare le site de la future chaufferie biomasse.
